29 septembre, journée mondiale du cœur : le jour où chaque cœur compte

Chaque 29 septembre, le monde se rassemble autour du même symbole : le cœur.
Celui qui bat 100 000 fois par jour pour nous maintenir en vie. Celui qui aime, qui s’emballe, qui s’épuise parfois. Mais aussi celui qui peut se briser trop tôt : infarctus, hypertension, maladies silencieuses…

Depuis plus de 20 ans, la Fondation Recherche Cardio-Vasculaire agit pour que la recherche avance, que la prévention protège et que chacun – femmes, hommes, seniors, jeunes – ait une chance de garder son cœur en bonne santé.

Grâce à vous, chaque don devient un battement supplémentaire d’espoir.

Le cœur, l’essentiel

Il est notre moteur vital. Mais nous l’oublions souvent.
Chaque battement est une preuve de vie. Chaque jour, des milliers de personnes perdent ce rythme, faute de dépistage ou de prévention.

La recherche le confirme : 80 % des maladies cardiovasculaires pourraient être évitées grâce à la prévention et à une meilleure hygiène de vie. Mais encore faut-il informer, accompagner et soutenir la recherche pour développer de nouveaux traitements.
Protéger son cœur, c’est protéger sa vie. 

Les femmes en première ligne

Trop longtemps considérées comme « protégées » par leurs hormones, les femmes paient aujourd’hui un lourd tribut aux maladies cardiovasculaires.
En France, elles représentent la première cause de mortalité féminine, avant le cancer du sein.
Chaque année, des milliers de femmes meurent d’infarctus ou d’AVC, parfois à 30 ans comme à 70 ans.

Le problème ? L’infarctus chez la femme est trop souvent sous-diagnostiqué. Les symptômes diffèrent de ceux des hommes et sont mal connus :

  • fatigue intense et inexpliquée,

  • essoufflement soudain,

  • nausées ou vomissements,

  • douleurs dans le dos, la mâchoire ou l’estomac.

Ces signes, parfois discrets, retardent la prise en charge. Résultat : un diagnostic trop tardif, avec des conséquences graves.

➡️ Il est urgent de briser cette invisibilité médicale et sociale, de mieux informer les femmes et de soutenir la recherche sur le cœur des femmes.

Précarité = fracture du cœur

Les inégalités sociales ne se lisent pas seulement dans les chiffres : elles se gravent dans nos artères.
Stress permanent, alimentation pauvre ou déséquilibrée, accès restreint aux soins… Ces contraintes augmentent de 40 % le risque de maladies cardiovasculaires chez les personnes les plus modestes (Observatoire des inégalités). Mais le cœur n’a pas de frontière sociale : aucune vie ne devrait être menacée par sa situation économique.
Investir dans la prévention, l’éducation et l’accès aux soins, c’est offrir à chacun la chance d’un cœur en bonne santé et d’une vie plus longue.

Cœur et nature : un même souffle pour la vie

Nos vaisseaux sont nos rivières intérieures.
Lorsqu’elles sont encombrées par les plaques d’athérome, le flux vital ralentit. Lorsqu’elles sont claires et fluides, la vie circule librement.
La nature nous rappelle que respirer, marcher en forêt, profiter du grand air et du vert, réduit le stress et l’inflammation, protège la tension artérielle et favorise un rythme cardiaque régulier. Préserver la nature, c’est aussi protéger ce qui coule en nous.

L’avenir bat dans nos labos

Chaque avancée scientifique est un pas vers des traitements plus justes, plus efficaces.
Nos chercheurs explorent de nouvelles voies : traitement de l’hypertension, prévention des AVC, santé cardiovasculaire des femmes, valvulopathies …
Derrière leurs découvertes, il y a vos dons. Et derrière vos dons, il y a des vies sauvées.

Un don = un battement de vie en plus


Faites le don du cœur aujourd’hui

Chaque battement compte. Chaque geste de solidarité est une avancée vers un avenir où les maladies cardiovasculaires ne seront plus une fatalité.