La fondation recherche cardio-vasculaire

Une Fondation Institut de France

La fondation-Institut de France est née de l’expérience d’une patiente d’exception

Danièle Hermann

« Je dois ma renaissance à la recherche cardio-vasculaire, il faut que demain de plus en plus de malades du cœur profitent des progrès de la recherche. »

 
Je vous encourage à ne pas craindre une opération à cœur ouvert car au contraire c’est une porte qui s’ouvre sur une nouvelle vie et une nouvelle et merveilleuse énergie. Les grands chirurgiens sont des magiciens, les faiseurs de cette nouvelle vie et nous devons les aider. Et aider la cardiologie, aider votre cœur à mieux vivre.J’en suis sûre, le rassemblement de nos forces, en encourageant et en soutenant la recherche, permettra de mieux connaître et de mieux faire connaître les maladies cardio-vasculaires.

Danièle Hermann

Présidente-Fondateur

Atteinte très jeune d’une cardiopathie aiguë Danièle Hermann a été opérée à cœur ouvert à deux reprises par le Professeur Alain Carpentier. Ce qui lui fit créer en 1979 l’Association Recherche Cardio-Vasculaire et en juillet 2001 la Fondation Recherche Cardio-Vasculaire suite à une convention passée avec l’Institut de France.

Peu de temps après la création de la Fondation a été initié le prix Danièle Hermann remis chaque année à un chercheur confirmé, choisi selon des critères d’extrême exigence par le conseil scientifique de la Fondation, pour honorer ses travaux de recherche dans le domaine cardio-vasculaire. Sous son impulsion et celui d’un conseil scientifique dédié ont été créés en 2015 les programmes de recherche « Danièle Hermann-coeurs de femmes » qui financent une recherche exclusivement dédiée au coeur des femmes. Danièle Hermann s’est éteinte en novembre 2014 des suites d’une insuffisance cardiaque. 

 

La Vice-Présidence de la Fondation Recherche Cardio-Vasculaire est depuis le décès de Danièle Hermann assurée par Maître Michèle Cahen, une amie d’enfance de Danièle Hermann.

 

La Fondation Recherche Cardio-Vasculaire-Institut de France n’est donc pas le produit d’une décision médico-technique mais le résultat direct d’une expérience personnelle.